Plus que 365 jours… (125/365)

Ardeurs de juin – IV ter

S’il reste des lect.eurs.rices et que parmi elles/eux (ordre alphabétique) il y en a encore qui se posent des questions auxquelles ils ne peuvent pas répondre seuls, il se peut alors que quelqu’un se demande qui a narré l’épisode précédent – 124/Ardeurs de juin – IV bis –, puisque le narrateur a été privé de son sifflet dans cet épisode, justement. Eh bien la réponse est simple, chère lectrice virtuelle, cher lecteur virtuel, on peut narrer sans sifflet, à condition d’avoir une main adroite – qu’elle soit de droite ou de gauche –, comme la main d’Heinrika qui dessine des miniatures. Ainsi, foi de rédaction, c’était bien le narrateur, celui que vous connaissez depuis l’épisode 1, qui narrait hier. Et si quelqu’un se demande comment on peut narrer d’une main adroite tout en gesticulant pour essayer de faire taire l’auteur, qu’il soit permis à la rédaction de préciser que narrer est tout un art ; l’auteur dit que c’est juste un métier, quant au narrateur il ne dit rien mais fait comprendre par gestes que c’est son job point
Fin de la séance de questions.

On se retrouve vendredi ou samedi pour un résumé des épisodes précédents – 1 à 123. La rédaction a bien senti que les rangs de lecteurs s’éclaircissent et qu’il faut remotiver les troupes. D’ici fin décembre, la rédaction aimerait bien pouvoir faire siens ces vers inspirés du grand Corneille :
Nous partîmes cinq cents ; mais par un prompt renfort de gars
Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port, de Riga.
D’un autre côté, on sait qu’en octobre, à Riga, il y  aura au moins Gaspard et Heinrika, et on se dit que s’ils sont seuls, ces deux-là, ils trouveront bien une façon de s’occuper, par exemple en voguant vers l’ouest. Mais n’anticipons pas.

Un lecteur :
Et là, c’est qui qui narre ?
La rédaction :
On a dit fin de la séance de questions !
Une lectrice :
Y a un port à Riga ?
[Gros soupir]

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